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Renouveler la pratique pour toucher la singularité disjointe de tout universel.
Lire le résuméAngelina Harari nous mène à une question sur la singularité disjointe de tout universel, l'« Un coupé du deux »[1], c'est-à-dire le sans limite, ce qui ne veut pas dire l'illimité. Ces questions, qui sont au cœur du thème du Congrès, « Un réel pour le XXIe siècle », pointent vers un renouvellement de la pratique de la psychanalyse, vers un psychanalyste sorti de son bureau de consultation, ouvert à la contingence et qui peut perturber la défense contre le réel, et non pas rester en deçà de l'Œdipe – une pratique d'analyste citoyen.
Traduction : Teresinha N. M. Prado
Angelina Harari nos traz como questão a singularidade disjunta de qualquer universal, o "Um cortado do dois", ou seja, o sem limite, que não quer dizer o ilimitado. E estas questões, que estão no cerne do tema do Congresso - "um real para o século XXI", apontam para uma renovação da prática da psicanálise. Apontam para um analista retirado de seu consultório, aberto à contingência, que pode perturbar a defesa contra o real e não ficar aquém do Édipo - uma prática do analista cidadão.